Le géoparc de M'goun
Le géoparc de M'goun à Azilal sera le premier du genre au niveau africain sur le plan géologique mais également au point de vue archéologique et écologique.
Le géoparc de M'goun à Azilal
Fuit d'un travail de coordination entre la société civile, les services concernés et la communauté scientifique, le site concerné renferme une richesse géologique exceptionnelle, des géosites d'une rare beauté et un patrimoine archéologique, architectural et historique de grande valeur (kasbahs, ighermans, greniers collectifs et gravures rupestres).
L'état d'avancement de ce méga projet et ses enjeux pour la relance de la région de Tadla-Azilal ont été au centre d'une journée d'information organisée vendredi à Béni Mellal et qui a regroupé les différentes parties concernées par ce projet qui concerne 59 communes.
Le géoparc de M'goun regorge aussi d'une faune riche en espèces menacées de disparition, telles le mouflon à manchettes, l'aigle royal, le gypaète et le panthère de Tamga.
La région compte, également, des sites d'un grand intérêt scientifique et géologique et une superficie suffisamment étendue pour générer une activité économique durable par la mise en évidence et l'organisation de l'offre que constitue ce patrimoine.
Pour organiser la protection du patrimoine et conférer à cet espace un statut susceptible d'en préserver l'intégrité et la richesse, une convention cadre a été signée en 2004 entre le conseil de la région de Tadla-Azilal, l'Association pour la protection du patrimoine géologique du Maroc, initiateur du projet, les conseils provinciaux de Béni Mellal et d'Azilal et les deux communes territorialement impliquées dans le projet.
D'autres partenaires se sont joints au projet. Ils se sont engagés à mobiliser les moyens nécessaires à l'aménagement et la gestion du géoparc, à instaurer des normes de préservation du patrimoine géologique et naturel de la région et à élaborer la Charte territoriale du géoparc en vue de l'obtention du label de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture et de l'intégration du site dans le réseau international des géoparc.
L'état d'avancement de ce méga projet et ses enjeux pour la relance de la région de Tadla-Azilal ont été au centre d'une journée d'information organisée vendredi à Béni Mellal et qui a regroupé les différentes parties concernées par ce projet qui concerne 59 communes.
Le géoparc de M'goun regorge aussi d'une faune riche en espèces menacées de disparition, telles le mouflon à manchettes, l'aigle royal, le gypaète et le panthère de Tamga.
La région compte, également, des sites d'un grand intérêt scientifique et géologique et une superficie suffisamment étendue pour générer une activité économique durable par la mise en évidence et l'organisation de l'offre que constitue ce patrimoine.
Pour organiser la protection du patrimoine et conférer à cet espace un statut susceptible d'en préserver l'intégrité et la richesse, une convention cadre a été signée en 2004 entre le conseil de la région de Tadla-Azilal, l'Association pour la protection du patrimoine géologique du Maroc, initiateur du projet, les conseils provinciaux de Béni Mellal et d'Azilal et les deux communes territorialement impliquées dans le projet.
D'autres partenaires se sont joints au projet. Ils se sont engagés à mobiliser les moyens nécessaires à l'aménagement et la gestion du géoparc, à instaurer des normes de préservation du patrimoine géologique et naturel de la région et à élaborer la Charte territoriale du géoparc en vue de l'obtention du label de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture et de l'intégration du site dans le réseau international des géoparc.
Source : MAP